L'AGECIF
L'AGECIF accompagne la professionnalisation des entreprises, des équipes et des personnes depuis 40 ans par :
- la formation continue au travers d'une programmation inter et intra
- la gestion de la paie avec InterCachet
L'AGECIF, c'est une quinzaine de permanents en plein centre de Paris et une centaine d'intervenants pour ses formations.
Elle intervient sur l'ensemble du territoire, dans les DOM et à l’international.
L'AGECIF est certifiée QUALIOPI (certification nationale de organismes de formation), adhérente de la Fédération Les Acteurs de la Compétence, et qualifiée par l'OPQF (Office Professionnel de Qualification des organismes de Formation).
En savoir plus sur notre démarche qualité
L’AGECIF est membre de la Fédération des Organismes de Formation de la Culture - FOFC
L'AGECIF est membre fondateur de l'ENCATC, réseau européen des organismes de formation en gestion culturelle.
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L'AGECIF, un acteur de l'histoire culturelle contemporaine
par Flore d'Arfeuille
Au service des professionnels de la culture depuis 40 ans, L'AGECIF applique un principe issu de l'héritage des Lumières et de la Révolution française : la formation professionnelle continue.
Des Lumières aux années 1970 : genèse de la formation professionnelle
Au service des professionnels de la culture depuis 40 ans, L'AGECIF applique un principe issu de l'héritage des Lumières et de la Révolution française : la formation professionnelle continue.
"L'instruction doit être universelle, c'est-à-dire s'étendre à tous les citoyens. Elle doit, dans ses divers degrés, embrasser le système tout entier des connaissances humaines, et assurer aux hommes dans tous les âges de la vie, la facilité de conserver leurs connaissances et d'en acquérir de nouvelles" écrit Condorcet en 1792 dans son rapport sur L'organisation générale de l'instruction publique.
Une obligation légale
Il faudra attendre la loi du 16 juillet 1971 (Loi Delors) pour que la formation professionnelle continue devienne "une obligation nationale" (Article L6111-1 du Code du travail). Elle assure désormais "aux salariés, employés ou demandeurs d'emploi, une formation destinée à conforter, améliorer ou acquérir des connaissances professionnelles". Le Congé individuel de formation (CIF) et les fonds d'assurances formation sont mis en place tandis que les employeurs de plus de 10 salariés participent désormais au financement de la formation continue. En 1972, l'Assurance formation des activités du spectacle (AFDAS) est créée.
Les années 1980 : Une nouvelle vision de la culture
A l'aune des années 1980, l'environnement politique, social et culturel est propice à la création de l'AGECIF.Dès 1981, l'arrivée de Jack Lang à la tête du ministère de la Culture (1981-1986 et 1988-1993) marque une rupture. Le décret du 10 mai 1982 définit ainsi les nouvelles missions du Ministère : permettre à tous les français de cultiver leur capacité d'inventer et de créer ; examiner librement leurs talents et recevoir la formation artistique de leur choix ; présenter le patrimoine culturel national, régional, ou des divers groupes sociaux pour le profit commun de la collectivité tout entière ; favoriser la création des œuvres d'art et de l'esprit et leur donner la plus vaste audience ; contribuer au rayonnement de la culture et de l'art français dans un libre dialogue des cultures du monde.
Budgets en hausse
Toutes les disciplines culturelles bénéficient de la hausse du budget du ministère de la Culture dès l'exercice 1982 (3 milliards de francs). Ainsi, dans le domaine du spectacle vivant, les moyens financiers des théâtres nationaux et des structures dramatiques décentralisées doublent, tandis que le nombre de compagnies théâtrales soutenues triple. L'aide aux nouvelles compagnies permet à la danse d'être moins confidentielle. Sans oublier enfin la loi Lang de 1985 sur les droits d'auteur, qui assure aux équipes de création une hausse et une régularité de revenus.
Croissance des industries culturelles
Le rapprochement inédit - et particulier à la France - de l'économie et la culture se confirme. L'exception culturelle désigne une réalité tangible. L'État s'implique ainsi désormais dans le développement des industries culturelles : livres, disques, films, médias audiovisuels. Il encourage également des montages financiers, comme avec la création en 1983 du nouvel Institut du Financement du Cinéma et des Industries Culturelles (IFCIC), et en 1985 des Sociétés de Financement de l'Industrie Cinématographique et de l'Audiovisuel (SOFICA). Il soutient également des salles de cinéma privé. En matière de livre, la loi Lang sur le prix unique permet à des librairies de qualité de se maintenir.
Parallèlement, des institutions comme les musées éditent, par le bais de la Réunion des musées nationaux (RMN) des produits dérivés comme n'importe quelle entreprise et réalise ainsi des bénéfices notables. Le Centre National du Livre (CNL), géré par les éditeurs, répartit des fonds prélevés sur une taxe à la consommation (la reprographie). Le Centre National de la Cinématographie (CNC) est également géré de façon paritaire avec les professionnels.
Développement du mécénat
A l'instar des entreprises anglo-saxonnes, les grandes et moyennes entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à soutenir ou même initier des événements culturels.
Signe d'un changement des mentalités, le développement du mécénat s'institutionnalise avec la création en 1979 de l'ADMICAL (Association pour le développement du mécénat industriel et commercial) consacrée au rapprochement de la culture et de l'économie. Les institutions culturelles n'hésitent désormais plus à recevoir des fonds privés et à le faire savoir !
Déconcentration et décentralisation culturelles
Parallèlement, l'administration même du ministère de la Culture - naguère essentiellement parisienne - est déconcentrée. Et la décentralisation organisée par les lois Defferre de 1982 et 1983 se met en marche.
Dans le secteur culturel, ce mouvement se traduit par la hausse des effectifs des 22 Directions Régionales des Affaires Culturelles (DRAC) créées en 1969 sous l'ère Malraux. Les DRAC gèrent la majorité du budget de l'Etat dédié à la Culture. Des centaines de Conventions de développement culturel sont alors signées avec les collectivités locales dont le rôle en matière culturelle est de plus en plus important. Les budgets des communes, des départements et des régions ont en effet considérablement augmenté. Outre l'Etat, la culture est donc désormais gérée par les collectivités territoriales et les entreprises mécènes.
Reconnaissance des arts mineursSous l'impulsion du ministère de la Culture, les pratiques culturelles alors qualifiées de mineures entrent dans le giron de la culture : chanson, musique populaire, arts décoratifs, bandes dessinées...
Ainsi, des centaines de petites et grandes salles (dont les Zénith) pour les groupes de rock sont subventionnées à Paris et en province. La photographie entre au musée, à l'instar des créateurs de mode, des publicitaires et des dessinateurs de bande dessinée. Le design industriel et la cuisine sont désormais reconnus comme disciplines artistiques.
Éducation et formation : nouveaux enjeux
L'éducation et la formation forment le socle du nouvel élan culturel. L'éducation culturelle en milieu scolaire se développe. Les baccalauréats à option artistique, les "classes culturelles", les opérations "collèges au cinéma" se multiplient, grâce aussi à l'implication des collectivités locales.
La nouvelle Délégation au Développement et aux Formations (DDF) vise "le rapprochement des professionnels de la culture avec leur public, en particulier le public scolaire".
Les régions, acteurs de la formation professionnelle
En ce qui concerne la formation, le vote de la loi du 7 janvier 1983 (relative à la répartition des compétences entre les communes, les départements, les régions et l'État), conforte les conseils régionaux comme acteurs incontournables de la Formation professionnelle continue. La loi du 24 février 1984 élargit le droit au Congé Individuel de Formation (CIF) et renforce le rôle du comité d'entreprise sur la question de la formation professionnelle.
En 1985, le système de formation en alternance dans les entreprises se développe et se simplifie.
De nouveaux établissements artistiques
A cette période, l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) est restauré. Les deux Conservatoires nationaux supérieurs de musique de Paris et Lyon s'installent dans des bâtiments ultra modernes. Une École nationale du patrimoine est créée, tandis que l'École du Louvre se renforce.
Les emplois dans le secteur culturel se diversifient et se développent. Des milliers de postes de techniciens, administrateurs, ingénieurs de projet, danseurs, acteurs, archéologues, ethnologues sont créés. Ceux que l'on appelle désormais les "ingénieurs culturels", jusqu'ici issus de l'école du terrain se forment grâce à la cinquantaine de nouvelles formations universitaires spécialisées (DESS).
1984 - Naissance de l'AGECIF : une offre de formation innovante
Au début des années 1980, une première agence associative vouée à la gestion des entreprises culturelles, l'AGEC, est créée à l'initiative du ministère de la Culture. Elle disparaitra finalement au profit d'un réseau d'agences implantées sur tout le territoire : CAGEC, ARSEC, Premier Acte... et AGECIF. Leur mission consiste alors à conseiller les artistes et gestionnaires culturels porteurs de projets, dans les domaines qu'ils maitrisent alors peu ou pas du tout : le droit, la gestion, le marketing et la formation.
Premiers pas en Île-de-France
Dans ce contexte naît donc l'AGECIF, vouée d'abord à intervenir dans la région francilienne. A sa tête, Denis Thévenin, issu de l'Association Régionale pour l'Animation Musicale (ARIAM), met au service de la nouvelle agence, ses connaissances en économie - il est diplômé en économétrie - et sa passion pour la vie culturelle (il chante alors dans le Chœurs de l'Orchestre de Paris et se produit régulièrement dans des compagnies de théâtre amateur).
Former les cols blancs du secteur culturel
Innovante, l'activité de l'AGECIF s'oriente d'abord vers la formation des "cols blancs" du secteur culturel. L'offre de l'AGECIF se concentre alors sur les disciplines fondamentales telles que le marketing, la communication, la comptabilité et le droit.
Ce type d'offre était alors embryonnaire. L'AGECIF s'impose rapidement comme l'un des premiers organismes à proposer des formations courtes, modulaires et personnalisées, adaptées aux profils et exigences des salariés et employeurs du secteur culturel. Le succès que remporte cette offre de formation, incite l'AGECIF à développer et diversifier son activité afin de mieux répondre aux fortes attentes des professionnels du secteur culturel.
Les années 1990 : Vers la démocratisation culturelle
Au cours des années 1990, le budget du ministère de la Culture continue de croitre : 15,1 milliards en 1998 contre 3 milliards en 1982. Les ministres se succèdent - Jacques Toubon (1993 -1995), Philippe Douste-Blazy (1995 -1997), Catherine Trautmann (1998 - 2000) - mais les priorités restent globalement les mêmes : l'éducation artistique et culturelle, l'aménagement culturel du territoire, la formation et la sensibilisation de tous les publics à la culture.
Généralisation de la formation professionnelle
En ce qui concerne la formation professionnelle, la loi du 4 juillet 1990 renforce le contrôle et la qualité de la formation. Avec la loi du 31 décembre 1991, le droit à la formation concerne désormais les titulaires de contrat à durée déterminée. Elle généralise l'obligation de financement de la formation, l'étendant aux entreprises de moins de 10 salariés. La loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 introduit la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE).
L'AGECIF et les Cafés Musique
Afin de sensibiliser tous les publics à la culture, le ministère de la Culture met en place dès 1991 un nouveau programme : les Cafés Musique. Objectif : développer des lieux de proximité en banlieue dédiés à l'expression musicale des jeunes de 16 à 25 ans. Toutes les musiques - jazz, chansons et variétés, musiques du monde et musiques amplifiées - y sont valorisées.
Structures de droit privé (Association Loi 1901 ou SARL), les Cafés Musique jouent un rôle à la fois culturel, économique et social. Afin d'optimiser la mise en place et le fonctionnement de ces nouveaux équipements culturels de proximité, l'AGECIF forment leurs équipes à travers une série de modules axés sur la politique de la Ville, la culture locale et le lien social. L'AGECIF renforce par ce biais son questionnement sur la démocratisation culturelle.
L'AGECIF et les Emplois-jeunes
Afin d'enrayer le chômage des jeunes, le gouvernement Jospin lance en 1997 les emplois-jeunes subventionnés par l'Etat. Ce dispositif incite les jeunes diplômés à découvrir et intégrer le secteur culturel. Avec l'arrivée de ces nouveaux profils, les structures culturelles s'initient à la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC). Pour les y aider, l'AGECIF conçoit de nouveaux modules de formation axés sur les ressources humaines, la gestion du personnel ou le management.
L'AGECIF simplifie la paie des intermittents du spectacle
Le régime des intermittents est une spécificité française dont l'histoire démarre avec l'adoption en 1936 par le Front populaire, des règles d'indemnisation spécifiques aux techniciens et cadres du cinéma. Mais la mise en place d'un véritable régime spécifique au sein de l'assurance chômage date des années 1960. En 1972 est créée l'AFDAS, gestionnaire des droits à la formation continue dans le spectacle.
Le régime d'assurance chômage, annexes incluses, est désormais renégocié tous les trois ans par les partenaires sociaux .
En 1992, la renégociation des annexes 8 et 10 marque une rupture. La mobilisation des intermittents entraîne l'annulation du Festival d'Avignon. Le bras de fer se poursuit avec la renégociation en 1996 des annexes 8 et 10 et, finalement, la prorogation du régime d'assurance chômage (et des annexes 8 et 10) jusqu'en 2000.
A cette même période est signée une Convention nationale de partenariat de lutte contre le travail clandestin dans le secteur du spectacle (1997), ainsi qu'un accord sectoriel inter branche "encadrant" le recours au contrat à durée déterminée dans le spectacle vivant, le cinéma et l'audiovisuel.
Dans ce contexte, l'AGECIF offre dès 1997, un nouveau service baptisé InterCachet. Objectif ? Simplifier les démarches administratives lors de l'engagement d'artistes et techniciens du spectacle. Concrètement, InterCachet propose d'effectuer en 24 heures toutes les démarches administratives liées à la paie du spectacle. La réactivité d'InterCachet est en phase avec le rythme particulier du secteur culturel. Ce nouveau service représente pour les employeurs, un moyen simple et efficace d'officialiser l'embauche d'artistes ou techniciens du spectacle.
Les années 2000 : La culture entre dans l'ère numérique
En matière de formation professionnelle, la loi du 4 mai 2004 relative à la formation tout au long de la vie instaure la création d'un Droit Individuel à la Formation (DIF). Le contrat de professionnalisation est mis en place.
En 2007, le rôle consultatif des partenaires sociaux est renforcé.
La loi du 24 novembre 2009 relative à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie instaure la création d'un Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP) destiné à faciliter l'accès à la formation des demandeurs d'emploi et des salariés les moins qualifiés. Par ailleurs, le nombre d'organismes collecteurs agréés est réduit et le Droit individuel à la formation (DIF) renforcé.
En 2013, l'accord sur la réforme de la formation professionnelle prévoit notamment la création d'un Compte Personnel de Formation opérationnel dès 2015.
L'AGECIF et les nouvelles technologies
La déferlante des nouvelles technologies que les acteurs du secteur culturel doivent s'approprier incite l'AGECIF à proposer une nouvelle famille de formations Communication et Web 2.0. Il s'agit d'explorer les nouveaux réseaux et de développer les techniques pour que les projets artistiques et culturels entrent de plein pied dans l'ère numérique.
L'AGECIF en 2014 : 30 ans au service des acteurs culturels
Trente ans après sa création en 2004, l'AGECIF poursuit sa mission initiale : former les professionnels de la culture afin de renforcer, actualiser et élargir leurs compétences.Au fil des 3 décennies, L'AGECIF - qualifiée depuis 2011 par l'Office Professionnel de Qualification des organismes de Formation (OPQF) - s'est imposée comme l'un des plus importants organismes de formation au service du secteur culturel.
L'AGECIF a toujours suivi au plus près l'évolution des métiers et les besoins des salariés et des employeurs du secteur culturel, afin d'adapter son offre de formation. Elle n'a jamais cessé de diversifier son activité et de proposer des services innovants : InterCachet pour faciliter l'engagement des artistes et des techniciens intermittents du spectacle ; AGECIF Conseil, société inscrite à l'ordre des experts comptables et le Centre médiation culture (CMC) pour résoudre à l'amiable les litiges dans les secteurs du spectacle, de la production phonographique, de l'édition et des arts visuels.
Missions
Une priorité, la formation professionnelle continueThéâtre, musiques, danses, arts de la rue, musées, patrimoine, cinéma, arts plastiques, livres, arts visuels, audiovisuel, arts numériques, artistes-auteurs... L'AGECIF intervient dans toutes les disciplines culturelles.
Chaque année, plus de 1700 journées de formation, réparties sur plus de 580 sessions sont organisées. Qu'elles soient programmées ou mises en œuvre sur mesure, les formations de l'AGECIF visent à renforcer les compétences des professionnels de la culture et de faire en sorte qu'ils s'adaptent aux évolutions technologiques. La sécurisation de leur parcours professionnel représente également l'une des priorités de l'AGECIF.
Quinze grandes thématiques
L'offre de l'AGECIF se décline en 15 grandes thématiques :
• gestion et finance,
• droit et réglementation,
• prévention des risques,
• production et diffusion,
• english for special purposes,
• développement et partenariat,
• publics et médiation,
• jeune public,
• communication et stratégie,
• écriture et rédaction,
• communication et Web 2.0.,
• efficacité personnelle et professionnelle,
• compétences et management,
• informatique et bureautique,
• formation des artistes auteurs.
Aux musiciens - instrumentistes et chanteurs - l'AGECIF propose le DIF Musiciens. Ce système original assure aux musiciens la prise en charge de leur formation dans le cadre de la formation professionnelle.
Des partenaires financiers, institutionnels et pédagogiques
L'activité de l'AGECIF s'appuie depuis toujours sur le dialogue étroit noué avec ses partenaires financiers, institutionnels et pédagogiques. Un travail collaboratif est mis en place pour adapter l'offre de formation aux exigences du terrain. L'AGECIF compte ainsi parmi ses principaux partenaires : l'AFDAS, le CNFPT, Relais Culture Europe, CNM-IRMA, Hors les murs, la Gaité lyrique, l'ENSATT, l'IDDAC, Illusion et Macadam, Le Transfo, Métis GWA, Odia Normandie, Opcalia, ORCCA, UNIFORMATION, Ministère de la Culture, Pôle Emploi...
Des interventions sur tout le territoire
Le siège social et les locaux de l'AGECIF sont situés au centre de Paris, dans le quartier historique du Marais. L'équipe de l'AGECIF intervient également sur l'ensemble du territoire, en particulier à Lyon, Montpellier, Lille, Valenciennes, Bordeaux, Libourne, Clermont-Ferrand, Nantes, Strasbourg, Rouen, Caen, Annemasse, Reims, Chaumont, Epernay, Rennes, ainsi qu'à La Réunion et en Guadeloupe.
Une équipe de professionnels de la pédagogie et de la culture
La pédagogie de l'AGECIF s'inscrit dans la durée. Le dialogue entre les formateurs et les participants se fonde sur une exigence de qualité. Les formateurs sont à la fois des professionnels de la pédagogie et de la culture. L'indépendance de leur statut favorise leur liberté de parole. Depuis 40 ans, l'AGECIF forge avec ses formateurs une vision contemporaine des enjeux du secteur culturel.
InterCachet pour faciliter l'engagement des intermittents du spectacleDestiné aux employeurs réguliers ou ponctuels dans le cinéma, l'audiovisuel, le disque, le spectacle vivant ou l'événementiel, l'AGECIF gère un centre de traitement des salaires chargé d'établir en 24 heures les documents pour la paie des intermittents.
Au-delà du gain de temps, InterCachet offre l'assurance aux employeurs de remplir leurs obligations. Les conditions légales d'embauche sont ainsi garanties aux salariés intermittents.
Le Centre de Médiation Culture encourage le dialogueLe Centre Médiation Culture (CMC) naît d'une analyse des litiges dans le secteur culturel (spectacle, production phonographique, édition, arts visuels). Les réponses judiciaires pour résoudre les conflits - notamment dans le domaine de la propriété intellectuel - sont en effet souvent lourdes, chères et inadaptées. L'équipe du CMC - 2 avocats spécialisés et 4 médiateurs expérimentés - s'emploient à proposer la médiation comme alternative à la résolution des différends.
Dans un secteur où la confiance et la communication priment, le CMC mise ainsi sur le dialogue plutôt que l'affrontement.
Concrètement, un médiateur est missionné pour traiter les litiges liés au contrat, au recouvrement de créance, à la fiscalité ou aux droits (auteurs, voisins, marques, image, numériques, successions, etc.).
Il intervient parfois même en amont pour prévenir un conflit, par exemple lors d'une renégociation de contrat.
Le médiateur peut enfin être appelé à résoudre un différend qui ne soit pas d'ordre juridique mais néanmoins créateur d'une situation de blocage en interne ou entre deux structures.